SAS Fanor : Un prestataire capable de s'adapter à tout type de chantier
Pour satisfaire nos clients nous sommes prêts à utiliser toutes sortes de moyens permettant de trouver des solutions
adaptées à tout type de travaux. Nous employons des méthodes adaptées pour intervenir sur des chantiers complexes,
dont les conditions d’accès ou de travail sont atypiques. Nous employons des engins adaptés selon la complexité du chantier.
Dans des cours intérieures où les accès sont restreints, avec des extractions de matériaux confinées.
La renouée du Japon
Nous sommes une entreprise capable d'intervenir dans la lutte contre la renouée du Japon, une plante féconde redoutable qui cause des dommages considérables sur l’environnement.
La renouée du Japon est une plante ornementale originaire d’Asie, et introduite en France il y a près de soixante ans. Pouvant atteindre quatre mètres de hauteur, elle possède des feuilles en forme de cœur ainsi que des petites fleurs blanches.
Malgré sa forme attrayante, elle peut se révéler un véritable fléau, et causer des dégâts irréversibles sur l’environnement. En effet, ses rhizomes sécrètent des substances toxiques qui tuent la flore environnante, et son feuillage dense endigue le développement des autres végétaux.
Ainsi, le paysage devient uniforme, les animaux sont privés de nourriture et de leur habitat naturel, et il est impossible pour l’homme d’exercer une quelconque activité sur les terres infestées. Comme la renouée du Japon pousse généralement au bord des fleuves et des rivières, l’absence d’un couvert végétal efficace favorise l’érosion.
Une propagation difficile à comprimer.
La renouée du Japon se reproduit par l’intermédiaire de ses rhizomes. Facile à bouturer, il suffit d’un fragment pour qu’elle se multiplie, s’étendant vers de nouveaux territoires grâce aux crues ou aux travaux de terrassement qui déplacent les sols contaminés.
Par conséquent, empêcher leur prolifération est pratiquement une mission impossible.
Pourtant, notre équipe a mené des opérations innovantes et extrêmement concluantes contre cette plante invasive, notamment avec l’arrachage à la pelle mécanique des tiges et des racines mis en cause.
